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Lone Sloane - Evoli en armure lourde

Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Lone Sloane - Evoli en armure lourde  Lone Sloane - Evoli en armure lourde EmptyJeu 12 Mai 2016 - 20:10
Lone Sloane
Identité
Espèce : Évoli
Type : normal
Spécificité : Si on excepte l'armure, l'arquebuse, la dague et la pipe, non, rien.
Âge : 44 ans
Sexe : Bah, eh, c'est pas vos oignons, et ça fera des jaloux.
Classe : artisan
Spécialisation : métallurgie niveau 4
Lieu de naissance : Collines de Granit
De plate, de maille et d'herbe à pipe
Image complète

Quoi ma description physique ? Ah mais on s'en fout de ça, je vais plutôt vous parler de mon armure !

Mon armure est en deux couches et trois parties :
1 : plate : de l'acier bien épais, solide et anti-rouille. Si je vous cogne avec, croyez-moi vous allez pleurer. Elle peut tenir face à beaucoup de choc et m’immunise aux armes tranchantes. Pour la passer, il faut soit forcer comme un demeuré mais rien d'infaisable pour un Léviator ou un Mackogneur assez tenace, soit la percer avec un tir de projectile suffisamment puissant, donc pas à la portée du premier Bulbizarre venu.
2 : maille : elle assure une plus grande flexibilité et est en acier anti-rouille. Ça peut parer tout objet tranchant ou perforant pourvu qu'il ne soit pas lancé avec une trop grande force, avec un bonus sensible pour ces derniers.
3 : cuir : sous la maille et plate se cache une épaisseur de cuir. Il peut être tranché et percé, mais résiste bien et limite les déformations de la plate. Inutile d'essayer de me briser les côtes en frappant mon torse par exemple, le cuir -je ne vous dirai pas de quel Pokémon, mais oui, c'est dégueulasse, pourquoi croyez-vous que je le cache- a la particularité d'absorber les chocs. Et pas ce cuir en particulier, tous les cuirs de bonne qualité.

Sinon, pour les composants :
1 : casque : cuir et plate, il est plutôt épais et composé de quatre parties. Le heaume, acier rembourré de cuir, solide et épais. Pour protéger le menton un ventail léger mais efficace. Aux sorties des oreilles, deux pièces de protection.
2 : cuirasse : cuir, maille et plate, moins épais que le casque et composé de trois parties. Le plastron, acier rembourré de cuir, composé de plaques reliées entre elles par des défenses cloutées. A l'arrière une dossière sur le même système comportant des accroches pour mes besaces de voyage. Sur la dossière, à la sortie de la queue, une pièce de protection. Au ventre, un haubert de maille.
3 : pattes : cuir, plates, mailles, composées de trois parties. Les spalières, acier rembourrées de cuir, larges et épailles avec une extension descendant sur les pattes. Les canons d'arrière-bras, acier rembourré de cuir, accrochées aux spalières. Puis les canons d'avant-bras en maille.
4 : équipements : Sacoches de voyage sur les flancs. Fourreau de dague au côté droit. Dague tranchante sur un côté et perforante, une main. Arquebuse à mèche montée par sangles sur le plastron. Pipe.

En somme, mon armure est solide et vous aurez du mal à la passer, mais elle me ralentit et diminue mon agilité. Par contre, il faut considérer que, en tant qu'Évoli, je suis naturellement très agile, et donc que mon agilité est ramenée à celle d'un Pokémon normal. Pour ceux qui se demandent, oui je suis un costaud. Mais vous passez votre vie à combattre vous peut-être ? Moi oui, quand je ne travaille pas le métal.

Mon arquebuse, maintenant. Ce petit bijou. Rien de bien compliqué. Je vais vous expliquer comment je tire.
Je verse un peu de poudre dans le canon que je tasse avec le tube de cuivre placé dans la pièce de bois sous le canon. Je place ensuite une petite balle de plomb à l'intérieur après l'avoir enroulée dans un morceau de papier pour qu'elle se coince. Je l'enfonce ave le même tube de cuivre. Puis il faut une mèche de coton trempée dans un liquide peu inflammable servant de retardateur, que je coince dans le serpentin, la pièce métallique recourbée à la base du canon. J'allume le bout avec un petit briquet. Dans le bassinet, sous le serpentin, je verse un peu de poudre. Ce bassinet est relié à la chambre du canon. Je prends ensuite le fil qui pend, le sort de son encoche, le saisis dans ma patte gauche, vise, tire vers le bas. Le fil tire la détente qui baisse le serpentin. La mèche enflammée allume la poudre qui explose et propulse la balle à une vitesse phénoménale. Ce petit bout de plomb peut ensuite percer quasiment tout ce qui se trouve devant. Une armure d'acier, une épaisse carapace de Tortank, quasiment rien n'y résiste. Par contre, ça prend une bonne minute à recharger, j'ai le droit qu'à un seul coup en pleine bataille. Mais en combat singulier, c'est parfois le seul coup.
Le tir produit énormément de fumée et un prodigieux jet de flamme. Heureusement pour moi, le bassinet n'est pas contre mon poil, mais je sens un peu le rousi après un tir, quoi qu'il en soit. Si ça ne tue pas, ça a le mérite d'impressionner, par le bruit et l'explosion. A bout portant, le flash lumineux peut aisément étourdir quelqu'un.

Sinon, je fume volontiers la pipe, j'ai toujours un petit sachet d'herbe quelque part. Dans mes sacoches on trouve le basique de l'aventurier ; nourriture, carte, monnaie, bandages, poudre, mèches, balles.

Vous avez certainement remarqué la lame que je porte. Cette dague que je coince entre deux doigts de ma patte ne me sert pas souvent en combat, car je suis un quadrupède, mais c'est toujours utile d'avoir une lame sur soi quand on en a pas naturellement. Au pire je me mets sur les fesses ou sur trois pattes. Elle est plus faite pour perforer mais a un côté bien tranchant équivalent à ce qu'on trouve chez d'autres Helmiens, comme beau-papa le Scalproie.

Je porte aussi un pendentif cylindrique en bois sombre. Pour ceux qui se demandent, c'est une amulette qui m'a été donné en récompense par une bande de Helmiens vivant dans les forêts. J'ai aucune idée de à quoi ça peut bien servir. (Note au MJ : si tu as besoin d'un petit Deus ex Machina, genre pierre évolutive ou je-ne-sais-quoi, en voici un tout frais. Libre à toi de le considérer comme une babiole aussi. Je m'en moque.)

Mes nombreuses cicatrices sont la marque de ma vie de lutte. Elle me donnent un air, je les aime bien. Sinon, mon pelage n'a pas de spécificités, si on exepte les brûlures au côté gauche. Oh, je suis peut-être un peu plus poussiéreux que la moyenne, et on peut trouver des taches de sang caillé entre deux touffes. Mais je me lave hein. Quand je tue pas des trucs.
Cet enfoiré que je suis
On ne me la fait pas à moi. Alors bon, on va y aller franco, je suis pas le genre à me faire rouler. Je sais lire et compter, et je suis naturellement suspicieux. Je doute, je ne me fie pas, je veux vérifications, preuves et garanties. Quelqu'un que je connais depuis des années ? Il reste louche à la première incartade. Un nouveau lieu ? On reste sur ses gardes à tout instant. J'ai vécu longtemps, je me suis déjà fait arnaqué et j'ai déjà arnaqué des gens. Non, je ne m’embarrasse pas de principes, morales et autres arceusseries à deux balles. Leur culte ne m'intéresse pas. Vous vous demanderez quoi alors. Rester en vie, gagner de quoi manger, conserver mon train de vie, assurer la survie de mon travail. J'aime explorer, voyager et je le fais souvent. Mais ce qui me tient le plus à cœur, c'est mon travail. Mes armes et armures. Quand j'en forge une, c'est une histoire de communion avec le métal m'voyez. Comme si c'était une extension de moi. Et d'ailleurs, je conçois toujours mes produits comme des extensions de leurs proprios. C'est pour ça que je fais un bout de route avec eux pour les aider à s'habituer à ces nouveaux micmacs.

En général je veux aller à l'avant de l'ennemi, des problèmes parce que ça ne me fait pas peur. Ce qui me fait peur c'est de ne plus pouvoir le faire. Donc oui, ce qui me fait peur, c'est de ne plus pouvoir ne plus avoir peur, donc j'ai peur de la peur elle-même. Vous pouvez pas savoir à quel point j'ai les foies de voir que je vieillis, corne de Chevroum. D'une certaine manière on pourrait dire que je fuis en allant au devant des combats pour ne pas à rencontrer cette terreur intime de l'inaction. Mais je ne m'encombre pas non plus de réflexions métaphysiques.

Comment donner une armure à un Voltorbe ? Une arquebuse à un Pingoléon ? Pour un Duodrio, plate ou maille ? Ce genre de choses. J'ai des pages et des pages de notes sur toutes les espèces que j'ai pu croiser. Comment les tuer, comment les armer. Comment les tuer quand elles sont armées. Ah ça oui, je suis plutôt cynique. Pas du genre à me masturber en public non plus, quoique ça ne me déplairait pas.
Une question qu'on m'a souvent posé, c'est pourquoi mordiable est-ce-que je parle comme de la truandaille alors que j'ai quand-même une certaine éducation. La réponse est simple, ça emmerde son monde. C'est comme ça qu'on voit qui sont les foies galeux qui se débinent au moindre guano que je leur envoie. Je sais à qui j'ai affaire comme ça. Si vous faites votre mijaurée, je vous traiterais comme une pucelle au moindre problème. L'incompétence, ça me tue et ça a déjà tué, alors je l'enfonce dès que je la voie. C'est une question de déontologie m'voyez, je vais pas vendre une claymore à un branle-queue qui va tartiner son pain avec et mouiller ses chausses devant le danger.
Ma vie est fantastique, sans déconner
Alors, je suis né dans un petit village bien tranquille des Collines de Granit, assez proche des montagnes. La terre n'y est pas fertile mais le sol est riche. Ma mère était forgeronne, activité familiale depuis son trisaïeul et mon père un mineur ayant acquis une petite fortune. Ma jeunesse, grosso-merdo, s'est résumée en apprendre le métier de forgeron pour reprendre le travail, voir passer des aventuriers en direction des montagnes ou acheter des équipements chez ma mère, s'entraîner avec les gamins du village à se maraver gaiement en espérant devenir un grand héros un jour et étudier une semaine sur deux à l'école locale avec ce qu'épargnait ma famille. Ils avaient réussi à avoir qu'un gosse et j'étais solide dans mon genre, alors ils s'étaient dit que lui il fallait pas le louper. On est plutôt modestes dans ce coin du monde m'voyez, mais loin d'être demeurés. Être éduqué, on savait que c'était un peu l'assurance de mettre du lard dans la soupe.

Et donc, voilà qu'un jour le paternel clamse. Effondrement de mine. Alors comme c'est la coutume dans ces villages de campagne, le village aidait ma famille à vivre et payer ma scolarité. De mon côté, j'ai plutôt bien tenu le choc, il faut dire que j'avais déjà mes 12 ans et que je le voyais que rarement. Arrivé à cet âge, je savais déjà forger épées et boucliers. Bon, quand j'ai dit que j'avais tenu le choc, c'est pas entièrement vrai. Vu que justement j'ai pris deux créations personnelles ; une cote de maille de voyage et une dague, et je me suis tiré à l'aventure dans le vaste monde. Avec la bénédiction familiale, allez pas croire que je me suis fais la malle en pleine nuit. J'ai vendu mes services comme apprenti un peu partout et même rejoint une guilde de compagnons forgerons. En gros, c'est une guilde de débutants qui parcourent le pays, dorment dans des auberges appartenant à la guilde et échangent leurs savoirs. En paiement, on leur doit un tiers de nos gains durant nos années d'appartenance et les cinq suivantes.

Tout ça m'a été plutôt utile. Très utile, en fait. Vous voyez, nous les Évolis, ce qui fait notre force c'est qu'instinctivement on comprends les autres races. On sait évoluer, s'adapter, se mettre à la place des autres. Alors durant tout ce temps, la principale chose que j'ai fais c'est noter. Noter des infos pratiques sur chaque race que j'ai pu trouver. J'vous l'ai dit : comment les tuer, comment les armer, comment les tuer quand ils sont armés. Arrivé à mes 20 piges, j'avais un énorme bouquin que je traînais partout avec moi, ma première armure de plate, deux dagues, une pipe bon marché et une musculature de rêve.

Je suis ensuite devenu mercenaire. Pendant sept ans, ma principale activité a été de faire le porte-lame durant des échanges louches, refroidir quelques mauvais payeurs, passer des marchandises un peu sales, effectuer des règlements de compte et autres. Le premier effet, c'est que j'ai rempli un deuxième livre d'indications, bien plus précises. Le second c'est que j'avais du coup mis quelques sous de côté.
Et arrivé à ce stade, il était temps de me lancer. Je suis revenu dans mon patelin, j'ai fais peur à ma mère qui ne m'a pas reconnue tout de suite, j'ai salué mon beau-père, un Scalproie atteignant la cinquantaine et fort agréable, j'ai donné un fête de village avec les voisins et j'ai déménagé notre forge à la capitale. Mère avait déjà 52 hivers derrière elle et on sentait le poids des âges qui venait. Surtout que la forge, y'a plus reposant comme métier. Elle s'est lancée dans la seconde chose qu'elle savait faire le mieux, l'enseignement et est devenue doyenne d'une guilde de compagnons forgerons : la Guilde de Garenerre, du nom de mon village natal. Beau-papa a continué son travail de maître d'arme. Moi, j'ai repris la forge et me suis fait une sacrée réputation. En même temps, c'est la famille. Je fabrique des armes, ma mère m'envoie des apprentis pour augmenter les rendements et beau-papa me fait de la publicité.

Avec le temps, je me suis beaucoup plus développé sur le côté technique. Faire des lames coupantes, des arbalètes puissantes, des mailles serrées, des plates épaisses, cela n'était pas suffisant. Je suis entré en contact avec des guildes d'ingénieurs et d'alchimistes. On a échangé nos savoirs, moi l'ethnologie et les propriétés des métaux et eux la physique, la chimie et surtout, la balistique. Science balbutiante dont on voyait des produits tels que des balistes, arbalètes, canons, mortiers et trébuchets. Ce genre d'échanges de bon procédés est courant entre professionnels vous savez. Mais bref. J'ai développé mon premier fusil à poudre noire à 36 ans. Et là, ça a fait un tabac immédiat. Une arme puissante, élégante, pas très complexe à produire. Elle se vendait bien. J'ai réussi à en produire une bonne vingtaine, de toutes tailles. Vous vous en doutez, j'ai gardé la meilleure pour mon usage. Du fait de sa nouveauté, ce n'était pas un produit qui se vendait énormément mais il coûtait une petite fortune. Ce n'était pas le prix des matériaux ni du travail mais celui de l'exclusivité. Que je sache, les forgerons pouvant produire des arquebuses se comptent sur les doigts d'une patte. J'ai réussi, sans modestie, parce que je suis un des meilleurs dans mon métier. On croit que la forge, c'est que de la force musculaire. Mes couilles sur la commode oui. C'est une science, un art. Je pourrais vous déblatérer des détails techniques pendant des jours sans m'arrêter.

Sinon, depuis quelques années, je me suis diversifié. Ma forge comprend désormais deux employés à plein temps, un Dracaufeu pas mauvais et un Pichu en apprentissage. Ils s'occupent des commandes mineures, c'est à dire tout ce qui n'exigera pas une intervention de ma part et plusieurs semaines de travail. Je ne me déplace que pour du sérieux et du bien rémunéré. Heureusement, ça ne manque pas tant j'ai fait mon trou dans le milieu. Une autre caractéristique de mon entreprise c'est le suivi continu de la clientèle. Dès qu'un Helmien m'achète un produit, je fais un bout de route avec lui pour l'aider. C'est compris dans les frais mais je coûte moins cher qu'un mercenaire. Ça sert à m'assurer que la commande répond aux attentes du client et que celui-ci a su s'adapter à son nouvel équipement. Comme ça, je fidélise un public d'élite parmi les aventuriers, mercenaires et combattants de tout poil.
Sur moi
Pseudonyme : Appelez-moi Zuglub.
Mot de Passe (il y a 4 mots. Contexte, Règlement, Classes, et Carte !) : Validay !
Comment êtes-vous arrivé ici ? Un beau jour, Skriff m'a dit : "JE VAIS REBOOTER ELIJIEL !" Alors bon, comme j'y avais un perso, je l'ai suivi.
Que pensez-vous du forum ? Y'a pas mal de trucs qui me dérangent, comme le système de combat, l'affichage qui rend trop grand sur mon ordi, le fait que j'ai du mal avec l'interface forumactif et d'autres petits trucs, mais bon, dans l'ensemble c'est du bon boulot. Surtout quand, comme moi, on a suivi la prod de ce fofo depuis la conversation sur skype.
Autre chose ? Bah, j'aurais bien une remarque cynique et obscène à faire ici mais vous en aurez déjà des pelletées à chaque post RP donc c'est pas utile.
(c) par elfyqchan pour Never-Utopia
Skriff
Mangriff
SkriffMangriff
Date d'inscription : 22/04/2016
Messages : 262
Points : 5
Niveau : 58
Masculin Âge : 34 ans
Classe : Chasseur
Spécialisation 1 : Garde Rang 4
Spécialisation 2 : Chercheur d'Obscurs Rang 2
Corruption : 0/60
Bonus : Éthéré, Maudit par Source.
Malédiction : [Ambition] Besoin constant et dévorant d'en faire/avoir plus. Veut tout contrôler et maîtriser dans son environnement, et prend des risques parfois inconsidérés. Détecte et obtient profits et opportunités aisément.
http://corporation-fanfiction.e-monsite.com/
MessageSujet: Re: Lone Sloane - Evoli en armure lourde  Lone Sloane - Evoli en armure lourde EmptyJeu 12 Mai 2016 - 22:23
Coucou :)

Aaaah, cette fiche... Autant dire que je l'attendais, et je suis pas déçu ! Un physique super original et super développé, un mental génial et très drôle à imaginer, et une histoire vraiment très cool. Longueur, qualité, créativité, oui, ce sont les trois mots parfaits pour décrire cette fiche ! J'adore déjà Lone, pour tout dire. Du coup j'ai rien à redire dessus. Il manque l'avatar mais ayant vu le dessin que t'as fait et en l'attente du scan, je laisse passer jusqu'à ce que tu puisses t'habiller tranquillou.

Du coup, droit de RP, classe, spécialisation, et niveau... 41 accordé ! =)

Bon RP sur Zyn's Helm, camarade ! o7

Lone Sloane - Evoli en armure lourde

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